![]() ![]() ![]() Vingt-six (84 %) des 31 USI disposaient d’un processus pour faire le suivi de erreurs de médication et des événements indésirables liés aux médicaments : les déclarations volontaires non anonymes (19 ou 73 %), les observations directes (14 ou 54 %), les déclarations volontaires anonymes (12 ou 46 %), l’examen des dossiers médicaux (6 ou 23 %), un système informatisé (3 ou 12 %), des outils d’alerte (2 ou 8 %), les interventions des pharmaciens (2 ou 8 %) et les « caucus de sécurité » hebdomadaires de l’USI (1 ou 4 %). Les réponses provenaient d’hôpitaux d’enseignement universitaire (11/31 ou 35 %), d’hôpitaux d’enseignement communautaires (9/31 ou 29 %) et d’hôpitaux communautaires sans vocation d’enseignement (11/31 ou 35 %). ![]() Trente-quatre pharmaciens de 31 (39 %) des 79 USI ont répondu au sondage. ![]()
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